Art Quantic Thérapie

Les « thérapies quantiques », ou la « médecine quantique », nous demandent de voir la vie, la santé et la maladie d’une tout autre façon : notre corps n’est plus un assemblage d’organes à traiter séparément, comme le fait la médecine conventionnelle, c’est un champ vibratoire et énergétique constitué de milliards de particules de lumière – des photons – qui échangent en permanence des informations, un univers lumineux dans lequel l’esprit et la matière ne font qu’un. Avec une idée clé : Ce ne sont pas les échanges biochimiques de nos cellules qui déterminent notre état de santé, mais les informations qu’elles se communiquent entre elles. L’origine de la maladie n’est donc pas un problème purement biologique, mais un défaut d’information ; le symptôme n’est qu’une réaction à ce dernier.

Pour celui qui ne connaît pas le monde scientifique, l’idée peut sembler délirante. Pourtant, elle repose sur des dizaines d’années de recherches, commencées il y a un siècle avec Albert Einstein et ses travaux sur la nature de la lumière. Au fil des décennies, la physique quantique – qui décrit le comportement des atomes et des particules subatomiques – s’est développée en marge de la physique classique, car elle ne répond pas aux mêmes règles. La plus importante, pour comprendre le fondement de la médecine quantique : les ondes électromagnétiques sont en même temps des photons. Ces photons du corps humain sont loin d’être des vues de l’esprit : au cours des années 1970, Fritz-Albert Popp, un biophysicien allemand, a découvert l’existence de ce qu’il a appelé les « biophotons », des particules de lumière émises par nos cellules, qu’il a réussi à filmer. Ces minuscules courants lumineux, invisibles à l’oeil nu, portent les informations et contrôlent notre organisme. Mais pas n’importe comment.
Des capacités d’autoguérison stimulées
L’une des découvertes les plus importantes de la physique quantique, reprise et développée dans la thérapie quantique, est, en effet, la théorie des « champs énergétiques » : ce sont eux qui organisent et contrôlent notre corps. Ils forment un tout. En somme, le corps humain est une structure organisée d’informations. Ce que les Chinois ont compris depuis longtemps avec l’acupuncture, qui traite les flux d’énergie du corps ; ou les Indiens, avec leur médecine ayurvédique qui traite le « corps de lumière » et ses chakras…

Les appareils de biofeedback quantiques sont conçus pour détecter les ondes électromagnétiques, les « fréquences » émises par chacune des cellules de notre corps. Lorsque certaines sont brouillées ou « fausses », l’appareil renvoie des fréquences « justes » afin de corriger le problème. Imaginez que vous ayez un coup de déprime. Vous appelez votre meilleur ami. Ses paroles rassurantes vous remontent le moral et vous retrouvez assez d’énergie pour reprendre le cours normal de votre vie. L’aide reçue n’est pas « physique », mais vient des mots réconfortants. Or ce flot d’informations vous a été transmis par les fréquences du téléphone. Voilà, de manière imagée, comment fonctionnent les appareils de médecine quantique : ils envoient des ondes extrêmement fines qui « parlent » à nos cellules et leur transmettent des informations, elles-mêmes portées par les photons. Pour reprendre la métaphore, on pourrait dire que les fréquences sont les phrases réconfortantes de votre ami ; et les photons, les mots, avec leur sens.

Si la thérapie quantique fait usage d’appareils électroniques de plus en plus sophistiqués, comme le Physioscan, Aumscan,  Biospect, Amsat, le Scio, le Korotkov, le Mora ou le Life, cette approche de la médecine n’est pour autant pas mécaniste : les machines ne fonctionnent pas. « En “dialoguant” avec notre champ d’informations, ces appareils stimulent nos capacités d’autoguérison, explique la journaliste et conférencière Lynn McTaggart, auteure du Lien quantique (Macro 2012). Mais rien ne peut se faire sans la présence d’un médecin ou d’un thérapeute. » Une interaction d’autant plus importante que cette nouvelle vision de la santé, donc de la vie, implique non seulement une relation entre le corps et l’esprit, mais l’union fondamentale de l’esprit et de la matière.

Malgré tous ces appareils techniques, n’oublions-pas une notion fondamentale, car on sait aujourd’hui que dans une approche globale, c’est l’ensemble de l’approche thérapeutique intégrant la singularité de chacun et la co-création d’une solution dans une relation vivante, qui est réellement guérisseuse et garante d’une santé optimisée.
Une machine sait très bien soigner une machine.
Un humain a les moyens de soigner un humain, avec de nombreux outils thérapeutiques disponibles.
Une machine peut-elle soigner un humain au-delà de la correction de symptômes ?
Car le symptôme a toute sa raison d’être, il apporte une réflexion sur notre manière de fonctionner et nous permet d’avancer dans l’acceptation de nous même, il nous construit alors que nous pensons qu’il nous détruit !
Le progrès de la médecine sera-t-il avant tout celui de la technologie ou de la conscience humaine ? Les deux seront bien sûr nécessaires. La clef sera le choix de la priorité. Et cela se joue dès maintenant, pour chacun d’entre nous.

On connaît, par de multiples exemples passés, les risques de la modélisation automatisée. La représentation subjective finit par prendre le dessus sur la réalité objective, qu’elle est sensé éclairer mais finit par masquer.
En d’autres termes, à force de se focaliser sur la carte, on oublie qu’elle n’est pas le territoire ! 
C’est pourquoi vous ne devez jamais vous séparer de votre « Libre arbitre » votre discernement et votre ressenti, intuition, ou pressentiment, appelez-le comme vous voulez.